Second séjour dans la capitale andalouse. Je ne suis peut-être pas remonté en haut de la Giralda, ni même entré dans la cathédrale, mais j’ai au moins pu voir l’Alcazar en visite privée, de nuit… Je l’avais fait de jour il y a 4 ans. J’en avais un excellent souvenir. Et bien je confirme que de nuit, çà ne perd en rien de sa splendeur.
C’est également un plaisir de se perdre dans les ruelles de Séville. Ses murs colorés, ses cyprès et ses palmiers, ses rues pavées, ses nombreux bars à tapas, ses orangers, ses petites places et ses portes entre-ouvertes sur les patios d’haciendas magnifiques où rien que la fontaine donne envie de s’arrêter et de se poser…
Egalement la chance cette fois-ci de passer une soirée dans une hacienda en périphérie de la ville avec dégustation locale, représentation équestre de l’école andalouse et danses de flamenco. Bref, le grand classique, mais quand on est là, ce serait dommage de ne pas en profiter !
Pour les adresses, pour ceux qui ont envie d’y mettre le paquet, j’étais à l’hôtel Alfonso XIII. Il paraît plus ancien qu’il ne l’est, mais il a une certaine authenticité qui le distingue vraiment des grands hôtels classiques où j’ai pu m’arrêter. Et puis ses ascenseurs à portes battantes encore intacts des années 20 sont plus qu’originaux ! Pour le reste malheureusement pas grand chose à donner. La « logistique » ayant été assurée aux petits oignons pour cet événement relativement original de mon métier, à savoir la rencontre avec les rares opérateurs VIP travaillant soit pour les riches et célébres de notre planète soit pour nos gouvernements.